Vous connaissez tous les contes de Charles Perrault et les fables de Jean de La Fontaine : Cendrillon, Blanche-Neige, Le loup et l’agneau… Et bien, en voici leurs versions détournées, aussi folles que drolatiques : Une peste nommée Cendrillon, Le petit chaton rouge, Blanche-Neige et les affreux petits nains, La fourmi et la cigale, Grosse Pastèque et le prince gourmand , etc. Dix-sept contes et fables détournés, pour notre plus grand bonheur de rire !
Je suis une balle. Une balle rouge. En caoutchouc.
J’appartenais à un enfant nommé Samuel, mais que tout le monde appelait Sam.
C’était hier… En Europe. Pas loin d’ici.
Au temps des nouveaux barbares.
C’est une histoire terrible que la mienne, mais aussi une histoire d’espérance.
Alors voilà…
Ces dix courtes pièces de théâtre, où l’humour est roi, sont à lire ou à jouer, tous ensemble en classe, ou en groupes.
Les thèmes (contes détournés, farces burlesques, intrigues policières, univers de science-fiction…) et les personnages (loups, vampires, martiens, robots, enfants farceurs et même un roi tout nu !) permettent aux élèves d’aborder le genre théâtral de manière ludique et diversifiée.
Mme Leroi, horrifiée, fit un bond en arrière et se colla contre la porte… Son magasin avait été sauvagement saccagé. Les vitres étaient brisées et il n’y avait plus un seul gâteau sur les plateaux où elle les avait déposés la veille au soir.
Les mystérieux saccage de pâtisseries ne s’arrêteront pas là !
Le commissaire Nullos saura-t-il se dépêtrer de cette délicate enquête ou devra-t-il appeler à la rescousse La Puce et son fidèle Gros Blair ?
Dans l’école de mes rêves
Les enfants dans la lune
Ont un ami Pierrot,
Qui leur prête sa plume
Pour écrire des oiseaux…
Dans l’école de mes rêves
Les murs sont en couleurs,
Et les poèmes bulles
Vous parlent du bonheur
En lettres majuscules…
Dans l’école de mes rêves
Il y a le cœur d’un maîtresse
Qui efface les chagrins,
Et les bonbons tendresse
Dans la poche d’un copain…
Et pendant la récré,
Un gros ballon soleil
Qui joue à chat perché,
Au bout d’une ficelle
Pour illuminer…L’école de mes rêves !
Un recueil composé de 57 poésies.
Des poèmes bulles tendres et amusants écrits sur les pages bleues de l’horizon pour parler du bonheur en lettres majuscules…
Nowan est le témoin de la création des plus grandes œuvres d’art…
Banksy, Dali, Van Gogh ou encore Arcimboldo, il était là a chaque fois ! Il a tout vu, et même aidé quelques artistes. L’histoire de l’art revisitée par Nowan, c’est certainement bien plus drôle que la réalité !
Décembre 1914.
Après des mois de combats acharnés, les soldats s’apprêtent à passer leur premier Noël dans les tranchées. D’un côté comme de l’autre, chacun n’a qu’une envie : être chez lui, dans sa famille. Et l’impensable se produit. Un chant de Noël. Une poignée de main. Les hommes se retrouvent dans le no man’s land. Puis, comme sorti de nulle part, un ballon apparaît. S’ensuit alors le plus incroyable match de football qu’on puisse imaginer…
100 ans plus tard, son panier de pigeons sur le dos, le petit Léo revit cette scène avec son père lors d’une reconstitution historique des trêves de Noël. Un symbole fort et vivant de l’humanité retrouvée au cœur même de la guerre, raconté à partir de lettres et de récits authentiques de soldats ayant vécu ces moments d’émotion.
Ça commence par une banale étourderie : Amélie ne voit pas sa classe monter dans le métro pour se rendre à la piscine.
Deuxième contretemps, les deux policiers, en raccompagnant Amélie, surprennent le cambriolage d’une bijouterie.
Troisième maladresse, Amélie fait tomber la moto des malfaiteurs.
Et la voilà embarquée comme otage !
Printemps 1248.
Le jeune paysan Tiloc découvre son ami Loulou, le fils du cordonnier, caché sous la paille de l’étable : il est accusé d’avoir braconné sur les terres du seigneur du village et se retrouve pourchassé par des soldats.
Alors que tout l’accuse, Tiloc décide d’aider son ami et de faire toute la lumière sur cette sombre histoire.
Tout commence dans la salle de classe, le 16 octobre 1918, à l’instant où Georgette, Léon, Adam et Robert découvrent une superbe affiche en couleurs. Celle-ci représente le jeune Jean Corentin Carré, 16 ans, en tenue de combat. Qu’il paraît courageux !
C’est Léon qui a l’idée en premier : il faut absolument qu’eux aussi rejoignent le front ! Mais les quatre amis ne savent pas encore à quel point ce voyage sera long et difficile…